ma propre subjectivité

05-04-2020 à 09:50:27
En fin de compte j'ai recherché et découvert l'astro-chronobiologie par méfiance de ma propre subjectivité.
Je me sais ho combien subjectif et ... j'aime ça.
Cerise sur le gâteau, je ne m'en méfies plus ou pas de cette subjectivité. Je peux encore être un peu poète...
Parce qu'elle n'entre en rien dans le matériau que j'utilise. Mes outils. Je sais que "moi" ou non le signal qui me sera indiqué ne devra rien à ma "folie" du jour. Il n'y a aucune place pour cette folie dans la mécanique stricte d'une horloge
C'est autre chose lorsqu'on invoque ou évoque sa subjectivité dans son travail, comme lorsque nous sommes confronté au choix d'un orbe ou pas et de quelle ordre de grandeur, d'absence objective
Dans la subjectivité il faut comprendre, il faut imaginer, il faut combler ce qui n'est pas certitude ... La nature a horreur du vide, alors on va combler d'un peu de soi ou de Soi. On invoque l'expérience, sans aller bien sur jusqu'à la mesure statistique de cette expérience. Dans la mathématique on applique, point ! C'est beaucoup plus simple et.. le temps gagné on fait de la poésie
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