Conception, d’une théorie, complètement différente

04-04-2020 à 13:40:41
L’astrologie classique part déjà d’une conception, d’une théorie, complètement différente de celle de l’ACB. Pour l’astrologie des transits, nous sommes accompagné, notre vie durant, des astres au dessus de nos tètes et nous recevons, sur la Terre, quelque « écho » de leur présence et suivi. Le Mars en transit dont on pourra parler sera ce même Mars qu’il sera facile d’observer, dans un même temps, à la lunette.
L’image ici de la marionnette que nous serions dans ce schéma m’apparaît flagrante. Et je n’ai jamais su y concéder. Elle m’apparaît encore autrement plus monstrueuse que celle véhiculée par l’astro-chronobiologie. C'est d'ailleurs sans doute face à cette monstruosité que sur cette astrologie s'est greffée un paradoxe inventé des années 60: le libre arbitre de chacun. Ainsi on devrait pouvoir échapper à tout ce qui ne nous convient pas et nous serions capable de faire un choix entre vivre les aspects qui nous plaisent en décidant de ne pas vivre les autres. Un bémol quand même: cette puissance accordée à l'homme occidental d'imposer sa volonté aux astres et au ciel, ne serait offerte qu'à force de travail sur soi, de spiritualité, de prière même. Ou sinon grace à la plus grande compréhension philosophique du fond du fond des choses. Seulement ce n'est plus de l'ordre du "Connais toi et tu connaitras le secret des dieux" auquel j'agréais entièrement, mais de celui du "connais toi et tu commanderas à l'univers ou au systéme solaire". Il y a une nuance dans laquelle je pense se place pas mal d'orgueil humain.
Pour l'ACB, nous sommes, absolument, constitués de notre thème. Nous sommes fait de lui comme nous sommes constitué d’une génétique et c’est au centre de celle ci, que se placera une sorte de « noyau » astrologique, devenu astro-biologique. Nous serions ainsi absolument constitué d’un espace (lieu de naissance) et d’un temps (date de naissance la plus précise possible) nous correspondant tt à fait puisque constituant notre raison même et l’ensemble de ses moyens d’expression. Celui qui voudrait juger de son déterminisme alors se retrouverait dans le même cas que celui qui, à sa fenêtre, voudrait se regarderait passer dan la rue. L’ACB renvoie à un déterminisme de même ordre que celui courant véhiculé par notre génétique. Une fois cet « espace-temps » formé en puissance, ce même thème devient le cadran d’une horloge cosmo-biologique sur lequel les différents points du thème évolueront d’un même pas aussitôt la première seconde d’existence autonome parvenue au terme de la grossesse. Ces différents points évolueront au moyens de 4 forces vitales et complémentaire qu’on pourraient imager comme les différentes aiguilles d’une horloge (celle qui serait des « secondes » (TSG), des « minutes » (TSV), des « heure » (TSC vrai) et celle du « jour » (TSU).).
Cette progression nous la portons en nous. C’est ainsi nous qui progressons de cette progression de notre schéma de vie, avec, dans le même temps, l’ensemble de nos facultés de raisonnement. C’est ainsi que je pense ce déterminisme comme idéal puisque nous correspondant en tout point. En puissance. Maintenant d’autres déterminismes, sociaux et culturels, se joindront à celui ci premier, génétique et sans doute façonneront ils la forme prise des manifestations issues de la progression du thème natal ou radical. Sans en altérer la finalité.
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