Il suffirait pourtant de faire la liste de ce que la science aura découvert au cours de ces 20 dernières années, en physique, chimie, mathématique, etc.…mais aussi de toutes ses interrogations, préoccupations, magistrales, actuelles et la liste, à côté, des avancées fondamentales en astrologie depuis….. 20 ans ? 150 ans ?
Bien sur « on » s’est saisie du « b a ba » de la psychanalyse, du « b a ba » de nos spiritualités…. La bonne moyenne entre ces deux « réalités », leur équilibre, s’appellera désormais l’humanisme. Plus agréable à entendre c’est vrai que « conformisme »…. Et parler c’est vrai d’une astrologie conformiste c’est « moins bien » que d’une astrologie humaniste. Pourtant… nos regards d’astrologues ou d’apprentis sont encore et toujours scotchés au ciel au dessus de nous comme il y a 1000 ans lorsque derrière nos lunettes d’astronome nous scrutions l’immensité des mondes. Les planètes nous suivent encore pas à pas au dessus de nos têtes et nous sommes liés à elles d’un espèce de flux que bien sur chacun peut maîtriser à sa guise, habité que nous serions, en contre poids, d’un libre arbitre fait sur mesure. De la bêtise et c’est pourtant encore cela, « ça », qui reste proposé au regard de la science. Et que nous soyons advenu à l’ère de la biologie moléculaire et de la physique quantique ne change rien à l’affaire : la pratique des transits c’est ça ! Comme il y a 1000 ans…. Lorsque ce « plus bas » qui devait refléter le « plus haut » était l’homme, l’individu…. que ce « plus bas » soit « descendu » au niveau de l’atome maintenant, un détail… on ne change rien. Toujours notre petite « parano » qui nous permet en nous sachant suivi au dessus de nos têtes d’accélérer ou de ralentir un peu le pas… Pendant que l’astrologue continue à tenter de comprendre s’il ne va pas lui tomber sur la tête un jour ou sa maîtrise des choses ou sa capacité à sublimer lui aura fait défaut, la recherche scientifique fait un bon gigantesque dans la connaissance de l’homme et de l’univers. Mille temps en nous à l’échelle quantique sont découverts qui ne soit pas ou plus celui qui inspira nos calendriers, nos coutumes et traditions, nos spiritualités…Qu’en faisons nous ? Rien ! Un bienfait pourtant : plus nous sommes « largués » scientifiquement plus nous avons d’âme et de libre arbitre ! L’astrologie sera spirituelle ou ne sera pas ! C’est en gros ce qui nous est proposé depuis quelques années d’une certaine « intelligentia » de l’astrologie. Un exemple dans l’entourage de Fanchon Pradalier Roy :
- En ce qui me concerne, la différence entre astrologie humaniste et astrologie traditionnelle est simple : l'astrologie humaniste annule et remplace l'astrologie traditionnelle.
Cette dernière démontre suffisamment son incapacité à rendre compte des réalités les plus élémentaires tout en s'accrochant à des visions du monde qui convenaient parfaitement au moyen age mais plus du tout à l'époque moderne.
De plus, la plupart des astrologues s'obstinent dans l'évènementiel et /ou le prédictif (de façon parfois très subtile) alors qu'il est clairement établi (par Rudhyar) que peu nous importent les "évènements", seul le sens que nous leur donnons a de la valeur. »… S’il est clairement établi par Rudhyar…. Fin
Voilà, ainsi en peu de mots vous savez ce que devient l’astrologie…. enfoncée jusqu’au cou dans la subjectivité. Le « discours ». Et le reste suit bien sur… et alors que nous disposons d’un matériel de mesure d’une précision informatique formidable qui nous offre de calculer nos thème à la seconde près, nous utilisons des orbes, des écarts, de plus de 10° ce qui dans les professions du bâtiment équivaudrait à construire une maison à vue d’œil…. De ces écarts on a été jusqu’à en faire des « blasons », quelque dessin primitif sensé nous représenter dans notre complexité. Plus question donc, faute d’avoir su le faire « sérieusement » et systématiquement depuis le début, de continuer à prétendre « connaître » le futur par l’astrologie…
Bien sur « on » s’est saisie du « b a ba » de la psychanalyse, du « b a ba » de nos spiritualités…. La bonne moyenne entre ces deux « réalités », leur équilibre, s’appellera désormais l’humanisme. Plus agréable à entendre c’est vrai que « conformisme »…. Et parler c’est vrai d’une astrologie conformiste c’est « moins bien » que d’une astrologie humaniste. Pourtant… nos regards d’astrologues ou d’apprentis sont encore et toujours scotchés au ciel au dessus de nous comme il y a 1000 ans lorsque derrière nos lunettes d’astronome nous scrutions l’immensité des mondes. Les planètes nous suivent encore pas à pas au dessus de nos têtes et nous sommes liés à elles d’un espèce de flux que bien sur chacun peut maîtriser à sa guise, habité que nous serions, en contre poids, d’un libre arbitre fait sur mesure. De la bêtise et c’est pourtant encore cela, « ça », qui reste proposé au regard de la science. Et que nous soyons advenu à l’ère de la biologie moléculaire et de la physique quantique ne change rien à l’affaire : la pratique des transits c’est ça ! Comme il y a 1000 ans…. Lorsque ce « plus bas » qui devait refléter le « plus haut » était l’homme, l’individu…. que ce « plus bas » soit « descendu » au niveau de l’atome maintenant, un détail… on ne change rien. Toujours notre petite « parano » qui nous permet en nous sachant suivi au dessus de nos têtes d’accélérer ou de ralentir un peu le pas… Pendant que l’astrologue continue à tenter de comprendre s’il ne va pas lui tomber sur la tête un jour ou sa maîtrise des choses ou sa capacité à sublimer lui aura fait défaut, la recherche scientifique fait un bon gigantesque dans la connaissance de l’homme et de l’univers. Mille temps en nous à l’échelle quantique sont découverts qui ne soit pas ou plus celui qui inspira nos calendriers, nos coutumes et traditions, nos spiritualités…Qu’en faisons nous ? Rien ! Un bienfait pourtant : plus nous sommes « largués » scientifiquement plus nous avons d’âme et de libre arbitre ! L’astrologie sera spirituelle ou ne sera pas ! C’est en gros ce qui nous est proposé depuis quelques années d’une certaine « intelligentia » de l’astrologie. Un exemple dans l’entourage de Fanchon Pradalier Roy :
- En ce qui me concerne, la différence entre astrologie humaniste et astrologie traditionnelle est simple : l'astrologie humaniste annule et remplace l'astrologie traditionnelle.
Cette dernière démontre suffisamment son incapacité à rendre compte des réalités les plus élémentaires tout en s'accrochant à des visions du monde qui convenaient parfaitement au moyen age mais plus du tout à l'époque moderne.
De plus, la plupart des astrologues s'obstinent dans l'évènementiel et /ou le prédictif (de façon parfois très subtile) alors qu'il est clairement établi (par Rudhyar) que peu nous importent les "évènements", seul le sens que nous leur donnons a de la valeur. »… S’il est clairement établi par Rudhyar…. Fin
Voilà, ainsi en peu de mots vous savez ce que devient l’astrologie…. enfoncée jusqu’au cou dans la subjectivité. Le « discours ». Et le reste suit bien sur… et alors que nous disposons d’un matériel de mesure d’une précision informatique formidable qui nous offre de calculer nos thème à la seconde près, nous utilisons des orbes, des écarts, de plus de 10° ce qui dans les professions du bâtiment équivaudrait à construire une maison à vue d’œil…. De ces écarts on a été jusqu’à en faire des « blasons », quelque dessin primitif sensé nous représenter dans notre complexité. Plus question donc, faute d’avoir su le faire « sérieusement » et systématiquement depuis le début, de continuer à prétendre « connaître » le futur par l’astrologie…
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