L’astro-chronobiologie a expérimenté systématiquement, depuis 6 ans, 5 astéroïdes.

28-01-2020 à 13:19:12
L’astro-chronobiologie a expérimenté systématiquement, depuis 6 ans, 5 astéroïdes.


Eléments connus et reconnus maintenant dans leur principe et fonction stricts en ACB.


Chiron : Il est le poids par excellence. Il pèse sur un flux, une dynamique, la projection de son énergie vitale, l’empêchant d’évoluer sereinement et pleinement. Sans pour cela empêcher complètement cette dynamique. Il n’arrête pas, il freine. Il pèse.

Le meilleur exemple de ce que peut provoquer Chiron est celui du Général de Gaulle qui l’avait en X-IV. S’il n’a pas empêché ce dernier d’avoir un destin hors du commun, ce fut quand même au prix d’un exil, d’une condamnation à mort, de 3 attentats, d’une « révolte » et d’une démission… Chiron nécessite d’être bousculé. Un aspect reçu d’un élément tel que Pluton, Uranus, Mars, offre généralement de le faire.


Cérès : Il coupe une dynamique en cours, la met entre parenthèses. Il n’est pas Saturne, plus définitif. Il sera le rendez vous reporté, le retour après une absence, une séparation, plus ou moins longue. On retrouve Cérès au retour d’un otage mais aussi alors lors de sa disparition un temps comme aussi on le trouvera en d’autres dimensions pour un accouchement par exemple. Egalement en aspect exact lors de la séparation, pour un temps, entre un enfant et son ou ses parents.

Il est certain qu’une séparation amoureuse sous son égide n’est pas définitive.


Pallas : Il est strictement lié au secteur VI, sans doute à l’axe VI-XII, dans ses deux dimensions fondamentales : la pathologie, la pratique professionnelle. Il est le représentant de ce secteur et le véhicule dans tous ses états tout au long de sa course.


Vesta : Liée strictement au secteur II dans au moins sa dimension économique. Lié donc fortement à l’argent, sinon élément de fort stress lorsque l’action de soi est empêchée.

L’axe II-VIII étant celui de notre énergie vitale, de celle aussi qui rendra nos projections plus ou moins puissantes au « devant » de nous. Energie qui porte nos états physiques mais aussi l’état de la « charge » de chacune de nos projections, de nos actions.


Junon : Elément sans surprise puisqu’il apparaît strictement conforme à ce que la mythologie nous en dit : facteur d’union, d’assemblement.


Nous sommes loin bien sur d’une certaine astrologie « humaniste » qui pensera, uniformément, que chaque élément ouvre à la conscience, point.[/size]

Il est certain qu’il appartient à chacun de les expérimenter et de les vérifier dans de tels principes et fonctions. En évitant pour ce faire de procéder d’une pratique qui ne fonctionne pas ou trop mal, comme celle des transits…


L’ACB aura vérifié, dans la pratique, ce que nous donne généralement à penser la tradition de tel ou tel élément (Mars, Jupiter, tel secteur, etc… ).


Bien sur tout au long de son expérimentation elle aura enrichi ces principes de spécificités (Vénus par exemple et son principe de « victimisation » qu’on aura systématiquement retrouvée lors des attentats les plus meurtriers ou des prises d’otages sanglantes comme en Russie …).


Ces particularités dépassées, l’interprétation en ACB est la même qu’en astrologie « classique », avec, quand même une toute petite différence : ici nous le vérifions systématiquement et au moyen d’une précision qui nous offre de choisir son champs de vision. Avec plus ou moins de « hauteur » : Vision d’une même réalité, d’un même instant, d’un même « Point d’impact », qui pourra être de l’ordre du cycle, de l’année, du jour, de l’heure

MessageSujet: Re: Les astéroïdes en asto-chronobiologie Les astéroïdes en asto-chronobiologie I_icon_minitimeLun 29 Sep - 23:52
Nous sommes loin bien sur d’une certaine astrologie « humaniste » qui pensera, uniformément, que chaque élément ouvre à la conscience.
Il est certain qu’il appartient à chacun de les expérimenter et de les vérifier dans de tels principes et fonctions. En évitant pour ce faire de procéder d’une pratique trop imparfaite, comme celle des transits…

L’ACB aura vérifié, dans la pratique, ce que nous donne généralement à penser la tradition de tel ou tel élément (Mars, Jupiter, tel secteur, etc.).

Bien sûr tout au long de son expérimentation elle aura enrichi ces principes de spécificités (Vénus par exemple et son principe de « victimisation » qu’on aura systématiquement retrouvé lors des attentats les plus meurtriers ou des prises d’otages sanglantes comme en Russie…).

Ces particularités dépassées, l’interprétation en ACB est la même qu’en astrologie « classique », avec, quand même une toute petite différence : ici nous le vérifions systématiquement et au moyen d’une précision qui nous offre de choisir son champs de vision. Avec plus ou moins de « hauteur » : vision d’une même réalité, d’un même instant, d’un même « point d’impact », qui pourra être de l’ordre du cycle, de l’année, du jour, de l’heure.

« Selon nous, écrit de nouveau Jacques Halbronn, en réaction à nos travaux: « le rapport des hommes aux astres ne saurait être ponctuel, ce qui met en cause la démarche d’un Roger Héquet avec son goût pour les prévisions à quelques jours voire à quelques heures près. »

« Face, continue l’historien, à une philosophie de l’astrologie qui est celle de la durée et du collectif, c’est-à-dire le dépassement de l’instant et de l’individu, il est une autre approche de l’astrologie qui revendique de se focaliser sur l’aléatoire, le fugace, le ponctuel, le cas personnel, comme faisant partie intégrante du champ de l’astrologie voire en en faisant le fondement même de la pratique astrologique : une astrologie de l’urgence. »

Répondons que les bases de l’astro-chronobiologie auront été pensées non dans une certaine urgence mais, il est vrai, avec le souci d’une exactitude qui rendait impératif qu’un système astrologique nous renseignât sur demain et non après-demain dès lors où il était demandé de se pencher sur le premier terme.

Une pratique qui devait donc et déjà être capable de différencier deux jours consécutifs. Deux réalités distinctes.

Qui, en effet, saurait prétendre que son aujourd’hui aura été semblable à sa veille ou qu’il sera semblable à son lendemain ?

Je prétends, dès lors qu’un système serait dans cette incapacité de différentiation,
qu’il serait bien imbécile. Se trouver dans l’incapacité de différencier deux réalités,
deux mondes, deux états d’être, est même de l’ordre de la schizophrénie, du
désordre mental.

Non pas donc urgence mais précision et je pense encore à Marylka Rouet, astrologue et chercheur, qui aura assimilé l’ACB accompagnée de la leucémie de sa fille. Pour elle, le jour de transfusion de son enfant se devait d’être différent de sa veille et surtout de ses lendemains.

Mais il n’empêche que si chaque jour est un pas sur la route qui nous attend rien ne nous empêche de regarder loin devant soi.
Je peux voir ou entrevoir ma finalité cela n’empêche qu’il me faudra avancer pas après pas pour y parvenir. À moins de se contenter de vivre de quelques simples vues de l’esprit.

Lors d’un colloque organisé par le MAU, j’ai pris, pour démontrer une certaine aberration à cette astrologie de « l’à peu prés », l’exemple de cette simple « grande conjonction » Neptune/Saturne et de ses phases qui expliquerait l’URSS, de sa naissance à sa fin.
La démonstration ainsi qu’une même phase (de sextile, je crois me souvenir) à cette conjonction contenait et était le principe à deux énergies contraires : le pacte de non-agression signé avec l’Allemagne et, trois ans plus tard, l’agression de l’URSS par cette même Allemagne.
Cette phase aura contenu une chose et son contraire.

La question qui sous-tend maintenant la pratique et la recherche en astrologie est celle, devrait être celle, de son utilité.
Une utilité spécifique qui ne devra pas s’articuler, comme c’est le plus souvent le cas, sur celles quasi exclusives, d’autres savoirs comme la psychologie, l’Histoire, la logique même.

Doit-on ainsi, parce qu’astrologue et nous intéressant, astrologiquement, à la situation en Israël, en Irak ou au Japon, savoir l’Histoire de ces pays, être particulièrement informés de la politique gouvernementale de la région, devenir aussi un spécialiste de la géopolitique, de l’économie ?

Il s’agira de ne pas confondre : faire son travail d’astrologue et travailler en association avec quelques autres spécialistes d’autres savoirs.

Le travail dévolu à l’astrologie est d’abord un travail prévisionnel sur le temps.

Il n’est ainsi pas besoin de travailler en astrologie pour penser qu’un attentat aura sûrement lieu en Israël, en Irak, dans les mois à venir... Quelle utilité pour l’astrologue de penser ainsi ?

Tout autre devrait et devra être le travail spécifiquement de cet astrologue qui dira quand, exactement, devra frapper cet attentat et bien sûr où.

Cesser également de prétendre que si l’astrologie n’est pas parvenue, jusqu’à présent, à l’ambition de cette utilité ce serait la faute de la science qui n’aurait rien compris...
Je pense que le systéme astrologique dit des « grandes conjonctions », de même que celui des transits qui prévaut encore pour la majorité des astrologues, sont des système insatisfaisants, insuffisants. Systémes qui, en soixante-dix ans, n’auront su, en ce qui concernent les grands cycles astronomiques, de ses propres moyens, qu’affirmer, prétendre, avec André Barbault, Yves Lenoble, que l’Histoire de l’URSS, de 1917 à 1989, serait due à la grande conjonction Neptune/Saturne. Cela sous prétexte qu’une de ces grandes conjonctions cosmologiques aura coïncidé, et encore, à quelques années près, avec l’avènement et la désintégration de l’URSS.
voilà tout des résultats de l’astrologie événementielle en soixante-dix ans. En cinq mille ans ! Qui ne soit pas sinon manipulation ou intuition, affirmations karmistes, humanistes…

Proposons que les astrologues ôtent de leur pratique tout ce qui serait de l’ordre d’autres « savoirs » empruntés et réfléchissent à ce qu’ils pourraient bien faire, à partir de là, de leurs matériaux spécifiques.
C’est alors certainement que leur réflexion deviendra utile.

Autrement plus utile, je pense, que d’offrir au monde l’idée que 350 millions d’individus ont vécu, uniformément, durant quatre-vingt-dix ans, sous le signe de Neptune/Saturne... et qu’à la prochaine occasion ils en reprendront pour cent soixante ans.

C’est dans la précision du temps, dans l’instant, que se place la réalité des choses.

Si l’astrologie n’est pas capable de différencier la veille d’un massacre de son lendemain, alors de nouveau je ne vois pas son utilité autrement que comme support à quelque « masturbation mentale » dont le monde et sa réalité humaine pourraient aisément se passer à présent.
Toutes les sciences feront de l’instant de stricte réalité le centre de leur intérêt et de leur pratique.
Toutes ? Non, il reste une petite région d’irréductibles… Le village des astrologues.

Qu’est une astrologie qui aura annoncé, soixante-cinq ans avant, quelques temps de violence dans les quatre-vingts ans à venir et qui ne se souciera plus en rien dès lors de ces instants qui feront ainsi partie d’un « grand tout » quelconque. Grand tout mondial qui peut être le fantasme de G.W. Bush mais qui dans la réalité n’apparaît pas fonctionner comme tel…

Expliquer le monde par une analyse du Pérou m’apparaît difficile et pourtant dans ce « tout » est autant le Pérou que la Chine ou la Belgique et bien « fou » ou « sage » (qui sait dans ces matières…) celui qui pourrait prétendre que la dynamique de la Chine est celle du Mexique.

Sans doute aussi nous faudra-t-il apprendre à différencier un monde qui n’est plus celui des grands mouvements de masse, des grandes expéditions de notre humanité et qui, pour moi, devrait avoir vécu son apogée en 1969 avec la conquête de la Lune.

Apprendre à différencier et donc à particulariser, à « personnaliser », le monde.
Dés lors où nous sommes passés d’une époque à 6 continents à un monde composé à présent de quelques 150 pays indépendants, il serait temps, en effet, je crois, de se mettre à la réalité du jour et de nous assurer que nous mesurons bien, de nos outils, une réalité.

Deux manières me semble-t-il d’adhérer collectivement à une même « réponse », à une même « raison », à un même signal, de collaborer à un même sens à donner à la marche du monde ou à sa collectivité : tous dans un même mouvement, une même raison, une semblable motivation. Situation pour laquelle on observe la chose de très haut, sans « détail ». Dès lors en effet on pourrait parfaitement penser qu’un aspect mondial, astronomique, aura suffit pour nous cloner dans nos attitudes.

Cette vision des choses m’apparaît datée des grands mouvements de population, des politiques de masse des années 1930/50.
Maintenant, on peut penser aussi à l’adhésion, plus ou moins prononcée, à un pro-jet, pour des motivations distinctes et différentes à chacun.
Prenons l’exemple de l’élection présidentielle dernière, en France, et ce « ras de marrée » démocratique et citoyen qui vit des communistes et des socialistes, et j’en passe, voter pour Jacques Chirac, histoire de « barrer la route » à Jean-Marie Le Pen.
Ces opposants politiques traditionnels, sinon viscéraux, ont-ils ainsi tous votés « sans état d’âme » ? Mécaniquement ? Sans se poser de question, se faire souvent violence ?
Je pense ici en souriant à une vieille personne de mes connaissances qui aurait aimé ne pas avoir eu à vivre cela avant que de « partir »…
Au moins ces « états d’âme » ont-ils été une réalité.
Je pense dans l’observation de cette réalité que chacun des millions d’individus ayant alors voté pour Chirac l’aura fait avec leur « cœur », leurs « tripes », leur « raison ».
Chacun ainsi avec son patrimoine astro-biologique spécifique.
Chacun avec son thème mais, surtout et avant tout, avec ce que ce dernier aura aussi et principalement « accroché » de celui de Jacques Chirac alors. Dans une relation de synastrie dynamique et en temps réel.
Je suis à présent persuadé que si nous étions capables de traiter les millions de thèmes individuels de celles et ceux qui ont voté pour Jacques Chirac alors, nous retrouverions, chez tous, un aspect « favorable », disons plutôt « d’ouverture », exact et non d’orbe de 3 ou 6° comme généralement employé en astrologie des transits, entre le leur et celui de Chirac.

Comme je suis persuadé également, dans un autre ordre d’idée, que chacune des victimes de l’ensemble des morts d’une catastrophe, des milliers, avaient un aspect individuel au moins, exact, touchant sévèrement à leur propre axe II-VIII.
Que savons-nous vraiment de cette régulation primitive du monde et de l’humanité ? De notre « détachement » à notre « animalité », à notre « nature », notre mathématique première ?

Encore une fois je pense que le monde ne fait pas l’individu mais que c’est l’individu qui fait le monde.
Chacun à son « échelle ». Selon la puissance vitale initiale contenue dans le noyau de sa carte du ciel natale comme en chacune de ses cellules. Puissance qu’il aura su « sauvegarder » au fil du temps.
Pour certains, cette contribution à la présence du monde n’aura pas dépassé un complexe relationnel de quelque dix ou quinze personnes.
Pour d’autres, plus rares et donc plus « remarquables », au charisme astro-biologique particulier, une « puissance d’être » leur aura permis de constituer un relationnel, une influence, sur plusieurs dizaines de millions de personnes. Un monde déjà plus raisonnable à l’échelle de notre planète.
Nous pourrions symboliser cela d’une centrale nucléaire d’un côté, ses millions de volts et, de l’autre, des millions de petites ampoules connectées sur ce réseau. Certaine de 75 volts, d’autres de seulement 25… Chacune éclairera un espace particulier, intime, aucun le même. Certains êtres seront habités d’une centrale électrique, d’autres d’un feu de bois. Certains veulent éclairer le monde d’autres ne demandent qu’à se réchauffer.

L’entité France aurait pu être le « monde Chirac ». Avec ses « bons » et « mauvais » jours, si ce dernier avait pu s’impliquer absolument, 24h/24, dans son « travail » en instaurant sa vision des choses à chacune des expressions singulières composant « son » monde.
Il aurait fallu pour cela qu’aucune autre préoccupation et considération, qu’aucun autre pro-jet, d’ordre plus privé ou intime, n’interfére dans sa démarche « politique ». Sachant encore que pour « faire passer » tel ou tel message, tel pro-jet, bref pour parvenir chaque fois que possible à ses fins, il a dû composer, négocier avec et à celles et ceux qui se sont placés sur son chemin au moyen d’aspect de synastrie.
Chacun de ces « intermédiaires » à la réalisation de Chirac sera le moteur principal de groupes catégoriels, « fonctionnels ». Front du refus ou de l’adhésion au pro-jet chiraquien, chacun de ces éléments énergétiques principaux auront eu pour Jacques Chirac la « figure » de Saturne ou de Jupiter, d’Uranus ou de Mercure, dans son thème ou celui de l’ »organisme » France.

Un monde, une collectivité, une structure, qui pour l’astro-chronobiologie est strictement énergétique, se sera ainsi transformée, constituée, spécifiquement autour de Chirac. Dans le refus comme dans l’adhésion.

Le « maillage » d’un filet gigantesque qui passe et se dynamise d’individu à individu parmi ceux étant sous la sphère d’influence, historique, géographique, économique, politique et institutionnelle, de celui qui personnalise, le plus puissamment, l’ensemble de l’entité étudiée. Et pour un temps.
C’est ici la démocratie astrologique.
Placez dans une même pièce et pour l’éternité, dirait Sartre : Bush, Blair, Chirac, Poutine et quelques autres et vous aurez l’image du monde au bout d’un « certain temps » d’adaptation.
Changez ensuite un seul de ces hommes par un autre et la donne est différente, le monde change…
Plus ou moins selon sa « puissance de conviction » mais il changera.
Il en va ainsi de la « bande de copains », de la famille, de toutes sortes de collectifs qui seront fondamentalement affaire d’individus connectés sur une même vision, mais chacun avec sa particularité, ses « moyens », ses raisons, la réalité mathématique de son horloge cosmo-biologique.
Un travail de recherche et d’expérimentation en synastrie ACB, des années durant, m’aura résolument persuadé de ce « maillage » dans lequel chacun est le moyen ou la cause de l’Autre et de sa réalisation.

La forme est, pour Nietzsche, une accumulation de forces unies par une même volonté, et qui se regroupent en centre de domination. Imaginons que les formes ne s’agrégent pas, qu’elles s’éparpillent, qu’elles se gaspillent dans le plus grand des hasards, chacune étant indépendante des autres. On se retrouverait dans l’hypothèse scientifique d’une énergie totale nulle, et rien ne serait jamais produit. L’univers ne serait tout simplement pas.

Pour B. Edelman : « La forme est le résultat d’une énergie active, le mode vivant d’organisation de la matière, qu’elle soit animée ou inanimée. La volonté d’accumuler de la force est un caractère spécifique du phénomène de la vie, de la nutrition, de l’hérédité, de la société, de l’État, des mœurs, de l’autorité.
La forme n’est pas inerte mais plastique, et il faut entendre par là qu’elle est douée d’une capacité de calcul énergétique.
Dans ces formes d’apparence opposée de cette volonté mathématique universelle se place la fonction féminine et masculine, ainsi d’ailleurs que nous le donne à penser le Tao et toute la philosophie des structures énergétiques s’articulant entre Yin et yang.
Il est ainsi une volonté qui “retient”, féminine, et une qui déploie, masculine. »

Sans doute notre « première » vision du monde, comme de soi, est-elle strictement « astrologique ». Ce que « je » discerne de l’Autre au premier instant c’est ce que le thème dont « je » suis composé pour représentation de l’espace-temps spécifique que je suis, que je suis appelé à devenir, discerne du thème de cet Autre.
Et ce, bien avant même la conscience d’une quelconque silhouette ou le son d’une voix, la compréhension d’un discours. Sans doute ce dernier ne fera que s’adapter à cette première « impression ».
La « force » est la seule donnée accessible par expérience. C’est elle qui agit sur nos sens. Un sentiment, c’est une force, une pensée c’est une force. Ce sont également les forces qui agissent sur nos appareils de mesure. Nos sens et nos appareils de mesure nous indiquent la marche à suivre. Si nous avons la force, nous pouvons réaliser nos projets, influencer les autres, déplacer les montagnes.

La science actuelle a découvert quatre forces « élémentaires » : électromagnétique, gravifique, forte et faible.
Les forces s’exercent entre les fragments de matière, les atomes. Nous sommes quelque part ici, j’en ai l’intuition au moins, au cœur de la théorie ACB supportée de quatre forces distinctes et spécifiques : TSV, TSC vrai, TSU et TSG.
Il est probable qu’un travail de recherche axé sur la rencontre d’analogies possibles dans les manifestations de ces deux groupes de forces permettrait de spécifier leur fonction en ACB.
Nous ne pouvons plus, astrologues, continuer à communiquer en signaux de fumée.
Qui travaille encore comme l’astrologue actuel, « à vue », à l’intuition, « grosso modo » ?
Dire qu’on m’aura virtuellement brûlé vif au bûcher aussitôt sorti le Temps sidéral vécu sous prétexte que je revendiquais l’existence d’un déterminisme puissant quand il y a plus du pantin dans celui qui sera suivi comme par une ombre et comme au bout d’un fil par les astres au-dessus de lui comme avec les transits que dans celui qui, homme cosmo-génétique, portera en lui toute sa complexité et devra composer avec elle, dans sa transformation, comme il le fera avec lui.

La réflexion ces derniers mois au sein de l’ULACB aura concernée l’intensité vécue par une personne de l’aspect attendu. Ainsi, parfois, et si même ce qui est vécu correspond parfaitement à ce que la « tradition » nous en dit, à ce que par expérience nous pourrions attendre, « la montagne semble avoir accoucher d’une souris… ».
Pour certains qui accompagnent l’expérimentation en astro-chronobiologie, notre « culturisation » nous aurait éloignés de notre nature et ceci expliquerait le « décalage » entre l’intensité de la chose attendue dans son absolu et ce que nous en vivons effectivement. Je pense pour ma part que notre nature est autrement plus « résistante » que cela et nous reste à « fleur de peau ». Cette intensité vécue d’une configuration astrologique sera plus sûrement conséquente d’un pro-jet d’accompagnement plus ou moins puissant.

J’aimerais à présent réagir sur l’affirmation convenue de tous que le consultant est systématiquement « en souffrance »… sinon, bien sûr, il ne viendrait pas consulter… Soulignons que cette affirmation est parfaitement validée par les astrologues praticiens, eux-mêmes consultants.
Ce qui me dérange ici n’est pas tant qu’on prenne en compte une une « actualité », qui fait qu’effectivement la grande majorité des consultants vient consulter parce qu’en souffrance, non, ce qui me gène, c’est qu’on fasse de cet état de fait une condition absolue à la consultation. Il est en effet bien plus que sous-entendu par chacun de ceux qui affirment cela, je pense à Didier Lustig, astrologue consultant, lors d’une réunion à laquelle nous participions, que c’est parce qu’il y a souffrance qu’il y a utilité pour l’astrologie ou même pour la consultation. Ainsi, sans souffrance qu’aurions-nous besoin de consulter ?
C’est ici avoir une vision de l’astrologie comme outils ou « moyen de »… qui m’apparaît plus que restrictive.
Chercher à savoir, à comprendre, à prévenir, me semble être une raison suffisante à la démarche de consultation et cette démarche ne m’apparaît pas d’essence pathologique. Au contraire.

Que la « culture ambiante » dans nos civilisations occidentales ait offert et offre à l’individu d’observer le moindre de ses « malaises » comme un « centre », une donnée fondamentale absolument à « guérir », au moins soigner, à accompagner en pleine conscience, c’est une réalité mais nous parlerons alors ici uniquement de gâchis lorsqu’il est ainsi consulté pour ces quelques « bobos » contemporains, de l’ordre de l’affect.
L’astrologie en effet s’adresse à ceux qui ne recherchent pas un « autrement », ni même un « mieux », mais un « plus ».
Prévenir avant que de guérir justement. Voilà ce qui m’apparaît devoir être le véritable rôle de l’astrologie. Parce que guérir, l’astrologie ne sait pas le faire, sinon en adjoignant au sien quelque autre « savoir » (psychanalyse, sophrologie, etc.), bref sinon en se faisant beaucoup plus discrète. Jusqu’à n’être plus parfois qu’un alibi.
Face à la pathologie l’astrologie n’a rien « inventé », rien découvert de plus que ce que nous connaissions d’autres réponses « techniques », ni même philosophiques ou spirituelles. « On » emprunte au bouddhisme, au christianisme si ce n’est à la « morale » humaniste, à la psychologie et surtout au « bon sens », à quelque raison, mais on ne soigne pas la souffrance par l’astrologie. On accompagne, on « gère » alors celle-ci, laissant au temps le soin de faire, raisonnablement, son œuvre. Comme pourrait le faire « n’importe qui » qui ne serait pas astrologue, mais un « ami ».
J’aurais pour ma part envie de dire « soignez-vous d’abord et venez consulter ensuite ».

L’astrologie s’adresse idéalement à l’individu sorti du « doute » de soi, qui « sait » mais… ne sait pas quand, ne sait pas comment. Un individu qui saura son espace et veut l’accompagner dans son temps. Rester synchro avec lui. Apprendre à être, à chaque instant, « là au bon moment ». Faire une partie d’échec de son existence, l’intelligence, la lucidité, la raison, face à une réalité cosmobiologique, une destiné spatio-temporelle, un déterminisme biomathématique structurellement absolu. Une « mathématique événementielle ».
Combien d’échéances gâchées en conséquence d’un espace humain initial, pro-jetant, affaibli et souffrant ? Pour se « reconnaître » à l’arrivée encore faut-il se connaître au départ… Le reste… une simple affaire de technique, de « méthode », plus ou moins efficace. Plus ou moins utile alors.
La psychologie depuis un siècle aura empli l’individu d’espace, de son espace intrinsèque, sans lui donner bien sûr les moyens de comprendre sa dynamique, son temps et celui de son parcours. Elle aura chargé l’individu de très lourds bagages sans lui donner à savoir ni sa marche ni sa destination.
L’Ère du Verseau qui s’annonce sera certainement ainsi celle du Temps lorsque celle encore actuellement « fut », tant elle est avancée, celle essentiellement d’un espace. Espace des grandes découvertes de continents, en passant par la colonisation, une guerre mondiale pour un « espace vital » et jusqu’à l’espace individuel, psychologique et microscopique.
Avec l’Ère du Verseau, le Temps sera désormais la dimension essentielle à l’humanité. Le Temps à cette humanité autant que le temps de soi. Et l’astrologie trouvera ici sa vocation première à guider cet espace, ces espaces, dans ce temps, dans ces temps à venir.
Un jour viendra où le Temps réellement efficace que chacun donnera à la collectivité sera retenu comme élément fondamental à la vie économique mondiale. Chaque minute proposée de soi sera comptée et comptabilisée et sans doute vaudra-t-il mieux connaître, prévenir, savoir, comprendre, accompagner, ce Temps de soi.
L’astrologie est une science du Verseau. La psychologie une science des Poissons.

L’efficacité humaine dans sa réalisation est sans doute une raison d’être de l’astrologie. Elle n’a, je le répète, aucune vocation et aucun moyen à soigner, à guérir la souffrance sans surtout devoir s’en remettre à d’autres sciences ou savoirs. Et tant que les astrologues consultants et professionnels prétendront le contraire, soulignant même que ce serait une raison d’être à leur « art », elle attirera vers elle toute la souffrance du monde.
En toute inefficacité bien sûr.
« J’ai telle ambition. Comment me réaliser ? » vaudra, pour l’astrologie, autrement mieux que « je ne sais pas où je s’en suis, dites moi ».
Non, bien sûr, par dédain mais par vocation, pour cause d’efficacité. S’il n’y a pas de pro-jet fort en préalable, inutile d’aller consulter ou vous pouvez tout autant consulter un psychologue.
Muni au contraire, empli, d’un pro-jet vrai, alors l’astrologie sera la science la plus efficace qui soit en ces domaines de l’accompagnement à la réalisation de soi au travers de celle de son existence.
L’astrologie renvoie absolument à la responsabilité de et pour soi. Elle s’adresse à l’essentiel d’un individu, elle n’est pas chargée de proposer cet essentiel lui-même.

L’astrologue agira dans sa discipline comme un chirurgien fera en pratiquant l’ablation du foie d’un corps humain. Sans plus d’émotion professionnelle parce que l’efficacité, autant en ACB, en astrologie, qu’en chirurgie, réclame d’être plus vigilant « techniquement » qu’ému.
Ce qui, bien entendu, n’exclut pas le moins du monde de côtoyer cette émotion lorsque l’exigence professionnelle n’est plus prioritaire.
Une des premières qualités à l’ACB est de pouvoir toucher au plus près de la réalité la plus brute, la plus quotidienne, comme aussi de savoir offrir à plus d’exigences philosophiques ou spirituelles une base mathématique, sans doute « froide », excessivement logique, stable, dans son parcours, mais combien nécessaire à la raison avec laquelle, je crois, cet état spirituel saura tendre vers plus de « vérité ».
On ne peut répondre aux demandes fondamentales de chacune et de chacun avec pour seuls moyens la Bible ou la Bagadvad Gîtâ.

Il n’est pas besoin d’un long discours face au « signe » comme l’étude suivante nous le montre.
Ainsi une victoire essentielle de Amélie Mauresmo, née le 5 juillet 1979 à 16 h 30 à Saint-Germain en Laye, pour un TSV ce 14/11/2005 de 272°44.
La Lune radicale, à 17°29 Scorpion, en I-VII, se place à 20°12 Lion et donc en pleine conjonction de l’axe MC-FC à 20°10 Lion. Orbe de 2 min.
Aspect strict qui apparaîtra à chacune et à chacun évident comme configuration positive pour ce jour de match. Ainsi, 1 mois avant son match, je notais sur Internet : « On remarquera ensuite sur la carte l’approche d’Uranus et la Lune de l’axe MC-FC. Bien sûr nous considérons l’heure d’état civil. Conjonction au MC qui me laisse penser que la championne n’en a pas terminé de ses victoires. »
Il n’est ici aucun besoin de réfléchir deux heures pour annoncer un jour essentiellement positif et d’ouverture. De quoi, déjà, faire un prévisionnel qui ne soit que d’ordre astrologique.
Quel besoin d’aller chercher midi à quatorze heures... Sommes-nous confrontés ici à un aspect négatif ? De fermeture ? Alors que, je vous l’assure, si la championne avait perdu ce jour, il y en aurait eu un au moins...

Nous pouvons en faire l’expérience avec le thème de celle qui fut son adversaire et fut défaite : Marie Pierce est née le 15 janvier 1975 à 1 h 07, à Montréal (Québec).
D’abord les signes intrinsèques de sa défaite :
Pour un TSV de 19°57, le MC-FC radical, à 9°48 Lion-Verseau, se place à 29°45 et donc en semi et sesqui carré de Saturne radical, à 14°42 Lion, en IX-III. Orbe de 2 min 40 appliquant, donc exact pour le match (0°00).
Face à face, nous avons pour le même match : d’un coté , Lune conjonction MC et, de l’autre, MC semi-carré Saturne...
On peut raisonnablement déjà penser que l’heure de naissance de la championne est exacte.
L’impression qu’une génération entière d’astrologues aura été sacrifiée aux thèses de l’astrologie humaniste, mais il est vrai que moins on peut s’appuyer sur l’évidence du signe et plus on aura besoin d’un discours pour compenser l’absence de cette évidence.

L’astrologie événementielle mesure un événement, une réalité effective. On pourrait, bien entendu, se laisser emporter par la Lune et ses analogies, la mère, l’âme, la sensibilité… On peut également ne considérer que la question initiale et y répondre le plus clairement.
En bref, soit on regarde l’étoile… soit le doigt qui nous la montre.
L’astrologie humaniste aura considéré qu’il était mieux de contempler le doigt. L’astro-chronobiologie qu’il était préférable, dès lors où nous avançons avec pour ambition la pratique d’une véritable dimension évènementeille, de considérer la question initiale, le but, la raison, la finalité à sa recherche.
Vous jouez tel jour ? Pour une Lune conjonction au MC… Pas rien, pour un aspect TSV qui ne revient ainsi que tous les quinze ans…
La Lune en ACB parcourt les 360° du thème en quinze ans. Ce sera en 28 jours en astrologie des transits… C’est certain alors que nous ne pouvons avoir le même regard sur la chose.
Aucun angle de fermeture, semi, sesqui carré, carré… pour ce jour. La Lune est accompagnée de très près par Uranus… ce qui ne peut que la rendre particulièrement dynamique.
Rien n’apparaît donc s’opposer à une victoire. J’ai maintenant quelque expérience de ce type d’événement (l’étude pratiquée un jour sur les combats que se livrèrent Prost et Senna en formule 1… Celle des combats de Mohamed Ali…)

L’axe MC-FC est celui en perpétuel équilibre entre : l’attachement à ce qui fut et est, nos habitudes de vie et d’existence, nos « mécanismes » de vie, nos structures culturelles, le subconscient qui prédisposera à notre réalisation, la culture familiale ou ambiante, ce que sont nos « marques », quelque « ça m’suffit » à nos vies, avec le FC.
Nos facultés à l’autonomie face à cet attachement, face à quelque normalité à nos existences, nos ambitions à ce qui sera ou devra être, la pleine conscience de soi, la recherche et le besoin d’autres « marques », d’autres repères, plus individuels, avec le MC.
Un élément tel que la Lune touchant à cet axe d’équilibre plus ou moins stable entre « avoir et être », « acquis et évolution », IV et X, ne peut que le déséquilibrer en lui impulsant son propre mouvement, sa propre fluctuation, sa propre dynamique.
C’est ici que la fonction primaire des éléments en jeu se doit de jouer : élément d’ouverture ou de fermeture, de mouvement vers ou de limite, de retrait…
La fonction Lune n’est en rien opposée au mouvement, elle est la fluctuation même. Une conjonction que n’accompagne aucun angle de fermeture (15, 45, 75, 90, 105, 165°) qui pourrait nous la rendre suspecte.
Si même nous parlons d’axe, d’une dialectique sans cesse entre secteurs opposés, nous ne pouvons occulter maintenant que c’est le MC qui est directement touché par la conjonction Lune, non le FC.

Et pour Mauresmo, c’est pour un jour de match… Elle ne se bat certainement pas pour sauvegarder ses acquis (IV) mais pour avancer d’encore un pas vers un « au-delà ces limites » (X).
Son pro-jet est le X, non le IV et profite pleinement de cet apport lunaire qui, tout en lui apportant les moyens d’un + en X offre de soulager le – en IV, le rendre plus léger, moins conséquent.
Nous n’avons aucun besoin de parler d’âme lorsqu’il s’agit de déterminer un à venir.
Tout ici, comme dans l’existence, ne sera que rapport de force entre ce qui tend à retenir et ceux qui pousse ou attire au pleinement.
Déterminer pour un jour précis ce que sera la tendance à ce rapport de force en désignant le domaine, le support, dans et sur lequel ce dernier s’effectuera n’est déjà pas inintéressant si, en plus, nous avons les moyens techniques de le déterminer systématiquement et précisément dans le temps.
Si un système me donne donc, systématiquement, les moyens de savoir, de déterminer, si, dans ma démarche, dans mon projet, tel jour à venir, telle année, le rapport de force est au pleinement ou à la limite ou au retrait, à la réussite ou à l’échec… il devrait être possible de surmonter la frustration de ne pas savoir ce qu’en pense mon âme…
Maintenant, il appartient à chacune et àchacun, astrologue, de fixer les objectifs de sa recherche.
La dimension psychologique des choses n’est certes pas inintéressante. La dimension spirituelle pourquoi pas non plus si même je la trouve plus suspecte… Mais je pense comme les situationnistes et « l’anti-psychiatrie » des années 1970, qu’il suffirait souvent que la situation change pour que l’être aille déjà mieux.
Une situation qui change c’est de l’existence à observer faite d’un rapport de force mathématique avec lequel il faudra composer le plus intelligemment possible. Chaque jour.
Comme il est composé, plus naturellement, avec l’obligé génétique qui nous habite et nous constitue.
Être « bien », pleinement, est ÊTRE là au bon MOMENT. Sans cesse ou le plus souvent.
Être « là » c’est exister déjà dans cette mathématique. C’est être déjà accompagné de pro-jets, d’ambitions, de désirs. C’est accepter d’entrer dans le temps des choses. C’est accepter d’être dans ce rapport de force, en soi et face ou autour de soi.
Le questionnement lambda devrait être : pour tel projet, telle attente, telle action, tel jour, serais-je bien ? Ouverture ou fermeture, positif ou négatif ? Et non, dans telle configuration, tel jour, quoi ? Ou alors allons-y de nos trois pages du champ des possibles… De l’enfant à la maman, de l’âme à l’imagination, la sensibilité, la nervosité, la fluctuation, l’inconscient, sûrement une dose de karma…
À partir de ces mots-clés nous pourrions faire un roman de 300 pages. De suppositions. Et plus j’avancerai dans le « détail » et plus mes certitudes que ces détails décriront une exacte réalité vécue me quitteront. Pourtant cette certitude à nos dires nous la devons à celle ou à celui qui nous aura confié son questionnement.
L’astrologie doit viser le 100% de prévisionnels exacts et spécifiquement utiles.
Placer une projection dans l’action. Me placer en situation face à une condition.
Je n’apprécie guere les « je vois votre cousin venir chez vous et se disputer avec votre mari au sujet de sa voiture... etc. ». Ce type d’interprétation relève de la voyance. Une configuration ne fait pas un fait mais nous fait baigner dans un contexte qui encadrera tout ce qui entrera dans le champ des axes concernés.
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